Mais qui se cache derrière le journal du petit écolo ?
C'est Julia, une jeune passionnée de la nature
Salut ! Peut-être que vous lisez ce blog pour réduire votre impact environnemental…
Mais aussi faire un pas de côté vis-à-vis de notre société de consommation, renouer avec vos valeurs, protéger vos enfants… Vous savez quoi ?
J’ai créé ce blog pour des gens comme vous. Et finalement, nous ne sommes pas si différents :
Moi aussi, je débute encore dans ma transition. Moi aussi, je n’ai pas toujours le temps, les moyens, l’envie de réaliser telle ou telle action. Et je peux avoir peur de me lancer, comme vous. Or c’est pour toutes ces raisons que je pense pouvoir vous aider :
Comment est-ce que je peux vous aider
Avant d’évoquer mon histoire, j’aimerais me tourner vers vous.
Maintenant, vous avez pris conscience de l’urgence. Depuis Une vérité qui dérange, Le monde sans fin ou encore ce voyage…
Tout a changé. Et j’admets qu’avoir son déclic, c’est dur au début. Peut-être que vous vous renseignez, que vous cherchez par où commencer, comment s’y prendre…
Et puis vous essayez. Sauf que ça ne marche pas. Ensuite, vous vous rendez compte que l’action ne sert pratiquement à rien. Et puis vous manquez de temps et de moyens pour tout faire… Bref :
C’est la galère. Mais vous savez quoi ?
Ce n’est pas si grave. Pourquoi ? Parce que je pense que ça arrive à tous ceux qui commencent (dont moi). Et aussi que je peux vous aider. Je ne dis pas que je vais pulvériser tous vos blocages comme lors d’une explosion.
Je ne dis même pas que je vais remplacer des blogs que j’adore comme Les écolos imparfaits, Eco-insouciance ou encore Objectif zéro déchet. J’espère simplement pouvoir vous apporter ma vision, mes idées, mes expériences de personne en début de transition. Et celle de tous les autres abonnés. Et pour cela…
J’ai essayé de créer des contenus variés :
Or je suis non seulement quelqu’un en transition… Mais aussi une adolescente avec son caractère, sa personnalité. Et même si ils se trouvent à des années-lumière de la perfection…
Je pense que mon tempérament pourrait vous inspirer. Mon histoire va vous le dévoiler :
Mon histoire
Pour commencer, je vais me présenter :
Je m’appelle Julia. J’adore la nature. J’habite à Paris, dans le quinzième. Et quand les gens découvrent mon blog, ils me font remarquer :
Comment ça se fait que tu tiens un blog sur l’écologie, à 13 ans ? Peut-être un peu grâce au mérite. Mais à mon avis, c’est surtout grâce à la chance :
La chance d’avoir pu prendre conscience de l’urgence écologique. La chance qu’une amie ait pu créer ce blog. La chance d’être une persévérante dans l’âme. La chance d’avoir découvert des blogs géniaux sur l’écologie ou le trafic. Mais d’ailleurs…
Comment j’en suis arrivée là ? Je vous explique :
Dès toute petite, la nature me captivait (surtout les fleurs). J’adorais tellement toucher, sentir tout ce qui vit ! Et un jour…
Mon déclic me cueillit au vol. Vous savez, quand vous vous rendez compte que la nature, vos enfants courent un danger. Puis que, peut-être, on pourrait vivre en harmonie avec elle. Et bien c’est ce qui m’est arrivé.
La Terre nous a créés, pourquoi la détruire ? A partir de là, une tempête d’idées m’emporta :
J’ai d’abord acheté des tonnes de livres comme Plastique Zéro Toxique, Ne change jamais ou encore Ces enfants qui changent le monde. Vous voyez, ce genre de livres qui inspirent, qui posent comme une lumière sur notre chemin…
Bref, ma version de Une vérité qui dérange ou encore Le monde sans fin. Or ils m’ont aussi donné des idées pour agir. Et m’ont donné le sifflet de départ pour courir un marathon :
J’ai fabriqué du lait d’amande, du déo et des détergents naturels, pris ma douche avec un gant de toilette ou encore économisé l’eau. Comme pour vous je pense, je commençais. Je me débattais donc dans la gadoue…Mais cela ne m’a pas empêché de passer à l’étape d’après :
Créer un club écologie dans mon école. Qui s’appelait Eco5. Mais je l’admets :
Dans ce club, j’ai commis pas mal d’erreurs. Comme quand je veux forcer tout le monde à participer, et tous ceux qui participent à se donner à fond.
Comme quand je me mets une pression folle pour motiver ses membres (et tout faire à leur place). Comme quand, au bout du compte, j’ai l’impression qu’on a raté notre tir, qu’on pourrait faire mille fois mieux. Alors voilà :
Plus qu’une pièce de théâtre, des objets vendus ou des flyers distribués… Eco5 reste une expérience humaine qui m’a remis en question. Peut-être que ça va me préparer pour ma prochaine grande aventure :
Ce blog. Car cette fois, l’idée a éclos chez ma demi-sœur Valentine. Car cette fois, l’union aussi a fait la force. Et si j’ai pris le relais, je le dois à deux choses :
Ma persévérance et mon attachement à l’écologie. On n’a pas tous cette chance, ce que j’ai mis du temps à comprendre. Mais j’ai fini par l’accepter.
J’ai créé les premiers articles du journal du petit écolo, puis sa newsletter. Au début, état de grâce ;
10, 20, 50, 100 personnes me suivaient ! Mais au bout de 3 mois, le vent a vite commencé à tourner. Je devais me rendre à l’évidence :
Je stagnais. 1 an que ça a duré. Il fallait que je trouve une solution, non ?
Oui, mais après être arrivée aux portes du collège. Avoir recréé un club écologie. Et laissé le Phoenix renaître de ses cendres :
Notre CPE présidait le club (grrr…). Grâce à elle, on a pu réaliser des choses que je n’imaginais
pas :
Encore une fois, coup de dur pour mon ego… J’ai appris à laisser la place aux autres. Non, je ne suis pas seule à vouloir protéger la Terre. Mais au final, ce n’est pas si mal, non 😊 ? En tout cas, vous me le prouvez avec ce blog :
Au bout d’une semaine, je tombe sur un site génial : Traficmania. Il m’a permis de créer mon ebook, mon premier concours, mes premiers articles invités… Grâce à lui, le journal du petit écolo a commencé à s’épanouir… Mais cela a un prix :
Je restais 2, 3 voire même 4 heures par jour sur mon écran. Ce qui me rendait aussi irritable qu’un ours (très) en colère. Le bonus ?
Cela m’empêchait de profiter de la nature. De passer du temps avec mes proches. Voire même de tester des actions écologiques. Petit à petit, je réduis le temps à une heure d’écran par jour. Conséquence :
Je me lance dans la méditation. Je sors plus. Je recommence à fabriquer des détergents et cométiques naturels. Je construis un nichoir pour oiseaux. A partir de là, je ne peux plus m’arrêter :
J’utilise des mouchoirs en tissu et des brosses à dents en bois. J’organise une rentrée écolo. Je ramène des bocaux aux courses. Je me mets à tester des recettes véganes… Et devinez quoi ?
Je reste aussi efficace qu’avant sur ce blog. A mon avis, chacun doit trouver un équilibre entre ralentissements et accélérations. Et ce n’est pas facile. Alors voilà :
Je vous ai raconté mon histoire. Vous avez la vôtre. Mais une chose reste sûre :
Vous aussi, vous avez un pourquoi.
Mon pourquoi
Connaissez-vous le concept du pourquoi ?
Vous savez, cette conviction profonde qu’a réveillée votre déclic. Cette volonté de préserver la beauté du monde, l’héritage de nos ancêtres, l’avenir de nos enfants.
Ce qui vous pousse à, chaque jour, faire de votre mieux pour la planète. Essayer, petit à petit, de graver la montagne de l’écologie. Même si elle paraît infranchissable. Vous savez quoi ?
Je pense que ça, c’est le pourquoi. Et que chacun possède un pourquoi tout au fond de lui. Vous. Comme moi. Le mien peut être différent du vôtre…
Ou pas :
Car ce que je fais, je le dois à la Nature. A ma conviction que nous ne formons qu’un avec elle.
Qu’il n’y a pas de passagers sur le vaisseau Terre. Que nous sommes tous des membres de l’équipage. En fait, je pense simplement qu’au delà de son aspect utilitaire, la Nature vit :
Elle respire, sent, rit, chuchote, crie. J’admets que c’est difficile à croire…
Mais j’ai choisi de m’y attacher. J’ai choisi de croire que chaque plante, chaque animal est doué d’une sensibilité, d’un altruisme, d’un caractère unique. Et finalement, peut-être que je n’ai pas tort :
Des gens comme Gandhi, Darwin ou Peter Wohleben (il l'explique dans ses livres) ont aussi pensé que dans chaque être vivant, un cœur bat. Pas un cœur en métal.
Un cœur en porcelaine, aussi fragile et beau que le verre :
« La grandeur d’une nation et son progrès moral peuvent être jugés à la manière dont les animaux sont traités. »
Mohandas K. Gandhi
« L’amour pour toutes les créatures vivantes est le plus noble attribut de l’homme. »
Charles Darwin
Alors voilà :
Vous n’êtes pas obligé d’avoir le même pourquoi que moi. Au contraire. Mais pour le coup… Je suis sûre que vous n’ignorez pas que le vivant tombe malade et que le climat s’enflamme. Je pense aussi que vous connaissez la condition qui s’impose si on veut changer les choses :
On doit s’y mettre TOUS. En parler autour de nous. Rejoindre des mouvements collectifs. Enclencher tous ensemble un effet boule de neige que personne ne pourra arrêter. Arrivés là…
Peut-être qu’on donnera un coup de pouce au changement. Alors pour y parvenir …
Agissons ensemble !
Soyons tous acteurs du changement. Enclenchons tous ensemble cet effet boule de neige. Faisons bouger les lignes à plusieurs. Car nous avons besoin des autres pour y arriver…
Mais chacun peut y contribuer, VOUS pouvez y contribuer. Et pour cela, voici ce que je vous propose :
Cliquez sur ce « Je veux agir ». Rentrez votre e-mail dans le formulaire. Et cliquez sur le bouton bleu. N’attendez pas :
Envie de passer à l'action pour la planète ?
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Je reste avec mes doutes et mes blocages, sans savoir par où commencer
Mais qui se cache derrière le journal du petit écolo ?
C'est Julia, une jeune passionnée de la nature
Salut ! Peut-être que vous lisez ce blog pour réduire votre impact environnemental…
Mais aussi faire un pas de côté vis-à-vis de notre société de consommation, renouer avec vos valeurs, protéger vos enfants… Vous savez quoi ?
J’ai créé ce blog pour des gens comme vous. Et finalement, nous ne sommes pas si différents :
Moi aussi, je débute encore dans ma transition. Moi aussi, je n’ai pas toujours le temps, les moyens, l’envie de réaliser telle ou telle action. Et je peux avoir peur de me lancer, comme vous. Or c’est pour toutes ces raisons que je pense pouvoir vous aider :
Comment est-ce que je peux vous aider
Avant d’évoquer mon histoire, j’aimerais me tourner vers vous.
Maintenant, vous avez pris conscience de l’urgence. Depuis Une vérité qui dérange, Le monde sans fin ou encore ce voyage…
Tout a changé. Et j’admets qu’avoir son déclic, c’est dur au début. Peut-être que vous vous renseignez, que vous cherchez par où commencer, comment s’y prendre…
Et puis vous essayez. Sauf que ça ne marche pas. Ensuite, vous vous rendez compte que l’action ne sert pratiquement à rien. Et puis vous manquez de temps et de moyens pour tout faire… Bref :
C’est la galère. Mais vous savez quoi ?
Ce n’est pas si grave. Pourquoi ? Parce que je pense que ça arrive à tous ceux qui commencent (dont moi). Et aussi que je peux vous aider. Je ne dis pas que je vais pulvériser tous vos blocages comme lors d’une explosion.
Je ne dis même pas que je vais remplacer des blogs que j’adore comme Les écolos imparfaits, Eco-insouciance ou encore Objectif zéro déchet. J’espère simplement pouvoir vous apporter ma vision, mes idées, mes expériences de personne en début de transition. Et celle de tous les autres abonnés. Et pour cela…
J’ai essayé de créer des contenus variés :
Or je suis non seulement quelqu’un en transition… Mais aussi une adolescente avec son caractère, sa personnalité. Et même si ils se trouvent à des années-lumière de la perfection…
Je pense que mon tempérament pourrait vous inspirer. Mon histoire va vous le dévoiler :
Mon histoire
Pour commencer, je vais me présenter :
Je m’appelle Julia. J’adore la nature. J’habite à Paris, dans le quinzième. Et quand les gens découvrent mon blog, ils me font remarquer :
Comment ça se fait que tu tiens un blog sur l’écologie, à 13 ans ? Peut-être un peu grâce au mérite. Mais à mon avis, c’est surtout grâce à la chance :
La chance d’avoir pu prendre conscience de l’urgence écologique. La chance qu’une amie ait pu créer ce blog. La chance d’être une persévérante dans l’âme. La chance d’avoir découvert des blogs géniaux sur l’écologie ou le trafic. Mais d’ailleurs…
Comment j’en suis arrivée là ? Je vous explique :
Dès toute petite, la nature me captivait (surtout les fleurs). J’adorais tellement toucher, sentir tout ce qui vit ! Et un jour…
Mon déclic me cueillit au vol. Vous savez, quand vous vous rendez compte que la nature, vos enfants courent un danger. Puis que, peut-être, on pourrait vivre en harmonie avec elle. Et bien c’est ce qui m’est arrivé.
La Terre nous a créés, pourquoi la détruire ? A partir de là, une tempête d’idées m’emporta :
J’ai d’abord acheté des tonnes de livres comme Plastique Zéro Toxique, Ne change jamais ou encore Ces enfants qui changent le monde. Vous voyez, ce genre de livres qui inspirent, qui posent comme une lumière sur notre chemin…
Bref, ma version de Une vérité qui dérange ou encore Le monde sans fin. Or ils m’ont aussi donné des idées pour agir. Et m’ont donné le sifflet de départ pour courir un marathon :
J’ai fabriqué du lait d’amande, du déo et des détergents naturels, pris ma douche avec un gant de toilette ou encore économisé l’eau. Comme pour vous je pense, je commençais. Je me débattais donc dans la gadoue…Mais cela ne m’a pas empêché de passer à l’étape d’après :
Créer un club écologie dans mon école. Qui s’appelait Eco5. Mais je l’admets :
Dans ce club, j’ai commis pas mal d’erreurs. Comme quand je veux forcer tout le monde à participer, et tous ceux qui participent ça se donner à fond.
Comme quand je me mets une pression folle pour motiver ses membres (et tout faire à leur place). Comme quand, au bout du compte, j’ai l’impression qu’on a raté notre tir, qu’on pourrait faire mille fois mieux. Alors voilà :
Plus qu’une pièce de théâtre, des objets vendus ou des flyers distribués… Eco5 reste une expérience humaine qui m’a remis en question. Peut-être que ça va me préparer pour ma prochaine grande aventure :
Ce blog. Car cette fois, l’idée a éclos chez ma demi-sœur Valentine. Car cette fois, l’union aussi a fait la force. Et si j’ai pris le relais, je le dois à deux choses :
Ma persévérance et mon attachement à l’écologie. On n’a pas tous cette chance, ce que j’ai mis du temps à comprendre. Mais j’ai fini par l’accepter.
J’ai créé les premiers articles du journal du petit écolo, puis sa newsletter. Au début, état de grâce ;
10, 20, 50, 100 personnes me suivaient ! Mais au bout de 3 mois, le vent a vite commencé à tourner. Je devais me rendre à l’évidence :
Je stagnais. 1 an que ça a duré. Il fallait que je trouve une solution, non ?
Oui, mais après être arrivée aux portes du collège. Avoir recréé un club écologie. Et laissé le Phoenix renaître de ses cendres :
Notre CPE présidait le club (grrr…). Grâce à elle, on a pu réaliser des choses que je n’imaginais pas :
Encore une fois, coup de dur pour mon ego… J’ai appris à laisser la place aux autres. Non, je ne suis pas seule à vouloir protéger la Terre. Mais au final, ce n’est pas si mal, non 😊 ? En tout cas, vous me le prouvez avec ce blog :
Au bout d’une semaine, je tombe sur un site génial : Traficmania. Il m’a permis de créer mon ebook, mon premier concours, mes premiers articles invités… Grâce à lui, le journal du petit écolo a commencé à s’épanouir… Mais cela a un prix :
Je restais 2, 3 voire même 4 heures par jour sur mon écran. Ce qui me rendait aussi irritable qu’un ours (très) en colère. Le bonus ?
Cela m’empêchait de profiter de la nature. De passer du temps avec mes proches. Voire même de tester des actions écologiques. Petit à petit, je réduis le temps à une heure d’écran par jour. Conséquence :
Je me lance dans la méditation. Je sors plus. Je recommence à fabriquer des détergents et cométiques naturels. Je construis un nichoir pour oiseaux. A partir de là, je ne peux plus m’arrêter :
J’utilise des mouchoirs en tissu et des brosses à dents en bois. J’organise une rentrée écolo. Je ramène des bocaux aux courses. Je me mets à tester des recettes véganes… Et devinez quoi ?
Je reste aussi efficace qu’avant sur ce blog. A mon avis, chacun doit trouver un équilibre entre ralentissements et accélérations. Et ce n’est pas facile. Alors voilà :
Je vous ai raconté mon histoire. Vous avez la vôtre. Mais une chose reste sûre :
Vous aussi, vous avez un pourquoi.
Mon pourquoi
Connaissez-vous le concept du pourquoi ?
Vous savez, cette conviction profonde qu’a réveillée votre déclic. Cette volonté de préserver la beauté du monde, l’héritage de nos ancêtres, l’avenir de nos enfants.
Ce qui vous pousse à, chaque jour, faire de votre mieux pour la planète. Essayer, petit à petit, de graver la montagne de l’écologie. Même si elle paraît infranchissable. Vous savez quoi ?
Je pense que ça, c’est le pourquoi. Et que chacun possède un pourquoi tout au fond de lui. Vous. Comme moi. Le mien peut être différent du vôtre…
Ou pas :
Car ce que je fais, je le dois à la Nature. A ma conviction que nous ne formons qu’un avec elle.
Qu’il n’y a pas de passagers sur le vaisseau Terre. Que nous sommes tous des membres de l’équipage. En fait, je pense simplement qu’au delà de son aspect utilitaire, la Nature vit :
Elle respire, sent, rit, chuchote, crie. J’admets que c’est difficile à croire…
Mais j’ai choisi de m’y attacher. J’ai choisi de croire que chaque plante, chaque animal est doué d’une sensibilité, d’un altruisme, d’un caractère unique. Et finalement, peut-être que je n’ai pas tort :
Des gens comme Gandhi, Darwin ou Peter Wohleben (il l'explique dans ses livres) ont aussi pensé que dans chaque être vivant, un cœur bat. Pas un cœur en métal.
Un cœur en porcelaine, aussi fragile et beau que le verre :
« La grandeur d’une nation et son progrès moral peuvent être jugés à la manière dont les animaux sont traités. »
Mohandas K. Gandhi
« L’amour pour toutes les créatures vivantes est le plus noble attribut de l’homme. »
Charles Darwin
Alors voilà :
Vous n’êtes pas obligé d’avoir le même pourquoi que moi. Au contraire. Mais pour le coup… Je suis sûre que vous n’ignorez pas que le vivant tombe malade et que le climat s’enflamme. Je pense aussi que vous connaissez la condition qui s’impose si on veut changer les choses :
On doit s’y mettre TOUS. En parler autour de nous. Rejoindre des mouvements collectifs. Enclencher tous ensemble un effet boule de neige que personne ne pourra arrêter. Arrivés là…
Peut-être qu’on donnera un coup de pouce au changement. Alors pour y parvenir …
Agissons ensemble !
Soyons tous acteurs du changement. Enclenchons tous ensemble cet effet boule de neige. Faisons bouger les lignes à plusieurs. Car nous avons besoin des autres pour y arriver…
Mais chacun peut y contribuer, VOUS pouvez y contribuer. Et pour cela, voici ce que je vous propose :
Cliquez sur ce « Je veux agir ». Rentrez votre e-mail dans le formulaire. Et cliquez sur le bouton bleu. N’attendez pas :
Envie de passer à l'action pour la planète ?
Téléchargez votre ebook gratuit, avec 52 éco-défis pour vous enfin vous lancer :
Je télécharge gratuitement 52 éco-défis progressifs à relever
Je reste avec mes doutes et mes blocages, sans savoir par où commencer
Mais qui se cache derrière le journal du petit écolo ?
C'est Julia, une jeune passionnée de la nature
Salut ! Peut-être que vous lisez ce blog pour réduire votre impact environnemental…
Mais aussi faire un pas de côté vis-à-vis de notre société de consommation, renouer avec vos valeurs, protéger vos enfants… Vous savez quoi ?
J’ai créé ce blog pour des gens comme vous. Et finalement, nous ne sommes pas si différents :
Moi aussi, je débute encore dans ma transition. Moi aussi, je n’ai pas toujours le temps, les moyens, l’envie de réaliser telle ou telle action. Et je peux avoir peur de me lancer, comme vous. Or c’est pour toutes ces raisons que je pense pouvoir vous aider :
Comment est-ce que je peux vous aider
Avant d’évoquer mon histoire, j’aimerais me tourner vers vous.
Maintenant, vous avez pris conscience de l’urgence. Depuis Une vérité qui dérange, Le monde sans fin ou encore ce voyage…
Tout a changé. Et j’admets qu’avoir son déclic, c’est dur au début. Peut-être que vous vous renseignez, que vous cherchez par où commencer, comment s’y prendre…
Et puis vous essayez. Sauf que ça ne marche pas. Ensuite, vous vous rendez compte que l’action ne sert pratiquement à rien. Et puis vous manquez de temps et de moyens pour tout faire… Bref :
C’est la galère. Mais vous savez quoi ?
Ce n’est pas si grave. Pourquoi ? Parce que je pense que ça arrive à tous ceux qui commencent (dont moi). Et aussi que je peux vous aider. Je ne dis pas que je vais pulvériser tous vos blocages comme lors d’une explosion.
Je ne dis même pas que je vais remplacer des blogs que j’adore comme Les écolos imparfaits, Eco-insouciance ou encore Objectif zéro déchet. J’espère simplement pouvoir vous apporter ma vision, mes idées, mes expériences de personne en début de transition. Et celle de tous les autres abonnés. Et pour cela…
J’ai essayé de créer des contenus variés :
Or je suis non seulement quelqu’un en transition… Mais aussi une adolescente avec son caractère, sa personnalité. Et même si ils se trouvent à des années-lumière de la perfection…
Je pense que mon tempérament pourrait vous inspirer. Mon histoire va vous le dévoiler :
Mon histoire
Pour commencer, je vais me présenter :
Je m’appelle Julia. J’adore la nature. J’habite à Paris, dans le quinzième. Et quand les gens découvrent mon blog, ils me font remarquer :
Comment ça se fait que tu tiens un blog sur l’écologie, à 13 ans ? Peut-être un peu grâce au mérite. Mais à mon avis, c’est surtout grâce à la chance :
La chance d’avoir pu prendre conscience de l’urgence écologique. La chance qu’une amie ait pu créer ce blog. La chance d’être une persévérante dans l’âme. La chance d’avoir découvert des blogs géniaux sur l’écologie ou le trafic. Mais d’ailleurs…
Comment j’en suis arrivée là ? Je vous explique :
Dès toute petite, la nature me captivait (surtout les fleurs). J’adorais tellement toucher, sentir tout ce qui vit ! Et un jour…
Mon déclic me cueillit au vol. Vous savez, quand vous vous rendez compte que la nature, vos enfants courent un danger. Puis que, peut-être, on pourrait vivre en harmonie avec elle. Et bien c’est ce qui m’est arrivé.
La Terre nous a créés, pourquoi la détruire ? A partir de là, une tempête d’idées m’emporta :
J’ai d’abord acheté des tonnes de livres comme Plastique Zéro Toxique, Ne change jamais ou encore Ces enfants qui changent le monde. Vous voyez, ce genre de livres qui inspirent, qui posent comme une lumière sur notre chemin…
Bref, ma version de Une vérité qui dérange ou encore Le monde sans fin. Or ils m’ont aussi donné des idées pour agir. Et m’ont donné le sifflet de départ pour courir un marathon :
J’ai fabriqué du lait d’amande, du déo et des détergents naturels, pris ma douche avec un gant de toilette ou encore économisé l’eau. Comme pour vous je pense, je commençais. Je me débattais donc dans la gadoue…Mais cela ne m’a pas empêché de passer à l’étape d’après :
Créer un club écologie dans mon école. Qui s’appelait Eco5. Mais je l’admets :
Dans ce club, j’ai commis pas mal d’erreurs. Comme quand je veux forcer tout le monde à participer, et tous ceux qui participent à se donner à fond.
Comme quand je me mets une pression folle pour motiver ses membres (et tout faire à leur place). Comme quand, au bout du compte, j’ai l’impression qu’on a raté notre tir, qu’on pourrait faire mille fois mieux. Alors voilà :
Plus qu’une pièce de théâtre, des objets vendus ou des flyers distribués… Eco5 reste une expérience humaine qui m’a remis en question. Peut-être que ça va me préparer pour ma prochaine grande aventure :
Ce blog. Car cette fois, l’idée a éclos chez ma demi-sœur Valentine. Car cette fois, l’union aussi a fait la force. Et si j’ai pris le relais, je le dois à deux choses :
Ma persévérance et mon attachement à l’écologie. On n’a pas tous cette chance, ce que j’ai mis du temps à comprendre. Mais j’ai fini par l’accepter.
J’ai créé les premiers articles du journal du petit écolo, puis sa newsletter. Au début, état de grâce ;
10, 20, 50, 100 personnes me suivaient ! Mais au bout de 3 mois, le vent a vite commencé à tourner. Je devais me rendre à l’évidence :
Je stagnais. 1 an que ça a duré. Il fallait que je trouve une solution, non ?
Oui, mais après être arrivée aux portes du collège. Avoir recréé un club écologie. Et laissé le Phoenix renaître de ses cendres :
Notre CPE présidait le club (grrr…). Grâce à elle, on a pu réaliser des choses que je n’imaginais pas :
Encore une fois, coup de dur pour mon ego… J’ai appris à laisser la place aux autres. Non, je ne suis pas seule à vouloir protéger la Terre. Mais au final, ce n’est pas si mal, non 😊 ? En tout cas, vous me le prouvez avec ce blog :
Au bout d’une semaine, je tombe sur un site génial : Traficmania. Il m’a permis de créer mon ebook, mon premier concours, mes premiers articles invités… Grâce à lui, le journal du petit écolo a commencé à s’épanouir… Mais cela a un prix :
Je restais 2, 3 voire même 4 heures par jour sur mon écran. Ce qui me rendait aussi irritable qu’un ours (très) en colère. Le bonus ?
Cela m’empêchait de profiter de la nature. De passer du temps avec mes proches. Voire même de tester des actions écologiques. Petit à petit, je réduis le temps à une heure d’écran par jour. Conséquence :
Je me lance dans la méditation. Je sors plus. Je recommence à fabriquer des détergents et cométiques naturels. Je construis un nichoir pour oiseaux. A partir de là, je ne peux plus m’arrêter :
J’utilise des mouchoirs en tissu et des brosses à dents en bois. J’organise une rentrée écolo. Je ramène des bocaux aux courses. Je me mets à tester des recettes véganes… Et devinez quoi ?
Je reste aussi efficace qu’avant sur ce blog. A mon avis, chacun doit trouver un équilibre entre ralentissements et accélérations. Et ce n’est pas facile. Alors voilà :
Je vous ai raconté mon histoire. Vous avez la vôtre. Mais une chose reste sûre :
Vous aussi, vous avez un pourquoi.
Mon pourquoi
Connaissez-vous le concept du pourquoi ?
Vous savez, cette conviction profonde qu’a réveillée votre déclic. Cette volonté de préserver la beauté du monde, l’héritage de nos ancêtres, l’avenir de nos enfants.
Ce qui vous pousse à, chaque jour, faire de votre mieux pour la planète. Essayer, petit à petit, de graver la montagne de l’écologie. Même si elle paraît infranchissable. Vous savez quoi ?
Je pense que ça, c’est le pourquoi. Et que chacun possède un pourquoi tout au fond de lui. Vous. Comme moi. Le mien peut être différent du vôtre…
Ou pas :
Car ce que je fais, je le dois à la Nature. A ma conviction que nous ne formons qu’un avec elle.
Qu’il n’y a pas de passagers sur le vaisseau Terre. Que nous sommes tous des membres de l’équipage. En fait, je pense simplement qu’au delà de son aspect utilitaire, la Nature vit :
Elle respire, sent, rit, chuchote, crie. J’admets que c’est difficile à croire…
Mais j’ai choisi de m’y attacher. J’ai choisi de croire que chaque plante, chaque animal est doué d’une sensibilité, d’un altruisme, d’un caractère unique. Et finalement, peut-être que je n’ai pas tort :
Des gens comme Gandhi, Darwin ou Peter Wohleben (il l'explique dans ses livres) ont aussi pensé que dans chaque être vivant, un cœur bat. Pas un cœur en métal.
Un cœur en porcelaine, aussi fragile et beau que le verre :
« La grandeur d’une nation et son progrès moral peuvent être jugés à la manière dont les animaux sont traités. »
Mohandas K. Gandhi
« L’amour pour toutes les créatures vivantes est le plus noble attribut de l’homme. »
Charles Darwin
Alors voilà :
Vous n’êtes pas obligé d’avoir le même pourquoi que moi. Au contraire. Mais pour le coup… Je suis sûre que vous n’ignorez pas que le vivant tombe malade et que le climat s’enflamme. Je pense aussi que vous connaissez la condition qui s’impose si on veut changer les choses :
On doit s’y mettre TOUS. En parler autour de nous. Rejoindre des mouvements collectifs. Enclencher tous ensemble un effet boule de neige que personne ne pourra arrêter. Arrivés là…
Peut-être qu’on donnera un coup de pouce au changement. Alors pour y parvenir …
Agissons ensemble !
Soyons tous acteurs du changement. Enclenchons tous ensemble cet effet boule de neige. Faisons bouger les lignes à plusieurs. Car nous avons besoin des autres pour y arriver…
Mais chacun peut y contribuer, VOUS pouvez y contribuer. Et pour cela, voici ce que je vous propose :
Cliquez sur ce « Je veux agir ». Rentrez votre e-mail dans le formulaire. Et cliquez sur le bouton bleu. N’attendez pas :
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Je reste avec mes doutes et mes blocages, sans savoir par où commencer
Mais qui se cache derrière le journal du petit écolo ?
C'est Julia, une jeune passionnée de la nature
Salut ! Peut-être que vous lisez ce blog pour réduire votre impact environnemental…
Mais aussi faire un pas de côté vis-à-vis de notre société de consommation, renouer avec vos valeurs, protéger vos enfants… Vous savez quoi ?
J’ai créé ce blog pour des gens comme vous. Et finalement, nous ne sommes pas si différents :
Moi aussi, je débute encore dans ma transition. Moi aussi, je n’ai pas toujours le temps, les moyens, l’envie de réaliser telle ou telle action. Et je peux avoir peur de me lancer, comme vous. Or c’est pour toutes ces raisons que je pense pouvoir vous aider :
Comment est-ce que je peux vous aider
Avant d’évoquer mon histoire, j’aimerais me tourner vers vous.
Maintenant, vous avez pris conscience de l’urgence. Depuis Une vérité qui dérange, Le monde sans fin ou encore ce voyage…
Tout a changé. Et j’admets qu’avoir son déclic, c’est dur au début. Peut-être que vous vous renseignez, que vous cherchez par où commencer, comment s’y prendre…
Et puis vous essayez. Sauf que ça ne marche pas. Ensuite, vous vous rendez compte que l’action ne sert pratiquement à rien. Et puis vous manquez de temps et de moyens pour tout faire… Bref :
C’est la galère. Mais vous savez quoi ?
Ce n’est pas si grave. Pourquoi ? Parce que je pense que ça arrive à tous ceux qui commencent (dont moi). Et aussi que je peux vous aider. Je ne dis pas que je vais pulvériser tous vos blocages comme lors d’une explosion.
Je ne dis même pas que je vais remplacer des blogs que j’adore comme Les écolos imparfaits, Eco-insouciance ou encore Objectif zéro déchet.
J’espère simplement pouvoir vous apporter ma vision, mes idées, mes expériences de personne en début de transition. Et celle de tous les autres abonnés. Et pour cela…
J’ai essayé de créer des contenus variés :
Or je suis non seulement quelqu’un en transition… Mais aussi une adolescente avec son caractère, sa personnalité. Et même si ils se trouvent à des années-lumière de la perfection…
Je pense que mon tempérament pourrait vous inspirer. Mon histoire va vous le dévoiler :
Mon histoire
Pour commencer, je vais me présenter :
Je m’appelle Julia. J’adore la nature. J’habite à Paris, dans le quinzième. Et quand les gens découvrent mon blog, ils me font remarquer :
Comment ça se fait que tu tiens un blog sur l’écologie, à 13 ans ? Peut-être un peu grâce au mérite. Mais à mon avis, c’est surtout grâce à la chance :
La chance d’avoir pu prendre conscience de l’urgence écologique. La chance qu’une amie ait pu créer ce blog. La chance d’être une persévérante dans l’âme. La chance d’avoir découvert des blogs géniaux sur l’écologie ou le trafic. Mais d’ailleurs…
Comment j’en suis arrivée là ? Je vous explique :
Dès toute petite, la nature me captivait (surtout les fleurs). J’adorais tellement toucher, sentir tout ce qui vit ! Et un jour…
Mon déclic me cueillit au vol. Vous savez, quand vous vous rendez compte que la nature, vos enfants courent un danger. Puis que, peut-être, on pourrait vivre en harmonie avec elle. Et bien c’est ce qui m’est arrivé.
La Terre nous a créés, pourquoi la détruire ? A partir de là, une tempête d’idées m’emporta :
J’ai d’abord acheté des tonnes de livres comme Plastique Zéro Toxique, Ne change jamais ou encore Ces enfants qui changent le monde. Vous voyez, ce genre de livres qui inspirent, qui posent comme une lumière sur notre chemin…
Bref, ma version de Une vérité qui dérange ou encore Le monde sans fin. Or ils m’ont aussi donné des idées pour agir. Et m’ont donné le sifflet de départ pour courir un marathon :
J’ai fabriqué du lait d’amande, du déo et des détergents naturels, pris ma douche avec un gant de toilette ou encore économisé l’eau.
Comme pour vous je pense, je commençais. Je me débattais donc dans la gadoue…Mais cela ne m’a pas empêché de passer à l’étape d’après :
Créer un club écologie dans mon école. Qui s’appelait Eco5. Mais je l’admets :
Dans ce club, j’ai commis pas mal d’erreurs. Comme quand je veux forcer tout le monde à participer, et tous ceux qui participent ça se donner à fond.
Comme quand je me mets une pression folle pour motiver ses membres (et tout faire à leur place). Comme quand, au bout du compte, j’ai l’impression qu’on a raté notre tir, qu’on pourrait faire mille fois mieux. Alors voilà :
Plus qu’une pièce de théâtre, des objets vendus ou des flyers distribués… Eco5 reste une expérience humaine qui m’a remis en question. Peut-être que ça va me préparer pour ma prochaine grande aventure :
Ce blog. Car cette fois, l’idée a éclos chez ma demi-sœur Valentine. Car cette fois, l’union aussi a fait la force. Et si j’ai pris le relais, je le dois à deux choses :
Ma persévérance et mon attachement à l’écologie. On n’a pas tous cette chance, ce que j’ai mis du temps à comprendre. Mais j’ai fini par l’accepter.
J’ai créé les premiers articles du journal du petit écolo, puis sa newsletter. Au début, état de grâce ;
10, 20, 50, 100 personnes me suivaient ! Mais au bout de 3 mois, le vent a vite commencé à tourner. Je devais me rendre à l’évidence :
Je stagnais. 1 an que ça a duré. Il fallait que je trouve une solution, non ?
Oui, mais après être arrivée aux portes du collège. Avoir recréé un club écologie. Et laissé le Phoenix renaître de ses cendres :
Notre CPE présidait le club (grrr…). Grâce à elle, on a pu réaliser des choses que je n’imaginais pas :
Encore une fois, coup de dur pour mon ego… J’ai appris à laisser la place aux autres. Non, je ne suis pas seule à vouloir protéger la Terre. Mais au final, ce n’est pas si mal, non 😊 ? En tout cas, vous me le prouvez avec ce blog :
Au bout d’une semaine, je tombe sur un site génial : Traficmania. Il m’a permis de créer mon ebook, mon premier concours, mes premiers articles invités… Grâce à lui, le journal du petit écolo a commencé à s’épanouir… Mais cela a un prix :
Je restais 2, 3 voire même 4 heures par jour sur mon écran. Ce qui me rendait aussi irritable qu’un ours (très) en colère. Le bonus ?
Cela m’empêchait de profiter de la nature. De passer du temps avec mes proches. Voire même de tester des actions écologiques. Petit à petit, je réduis le temps à une heure d’écran par jour. Conséquence :
Je me lance dans la méditation. Je sors plus. Je recommence à fabriquer des détergents et cométiques naturels. Je construis un nichoir pour oiseaux. A partir de là, je ne peux plus m’arrêter :
J’utilise des mouchoirs en tissu et des brosses à dents en bois. J’organise une rentrée écolo. Je ramène des bocaux aux courses. Je me mets à tester des recettes véganes… Et devinez quoi ?
Je reste aussi efficace qu’avant sur ce blog. A mon avis, chacun doit trouver un équilibre entre ralentissements et accélérations. Et ce n’est pas facile. Alors voilà :
Je vous ai raconté mon histoire. Vous avez la vôtre. Mais une chose reste sûre :
Vous aussi, vous avez un pourquoi.
Mon pourquoi
Connaissez-vous le concept du pourquoi ?
Vous savez, cette conviction profonde qu’a réveillée votre déclic. Cette volonté de préserver la beauté du monde, l’héritage de nos ancêtres, l’avenir de nos enfants.
Ce qui vous pousse à, chaque jour, faire de votre mieux pour la planète. Essayer, petit à petit, de graver la montagne de l’écologie. Même si elle paraît infranchissable. Vous savez quoi ?
Je pense que ça, c’est le pourquoi. Et que chacun possède un pourquoi tout au fond de lui. Vous. Comme moi. Le mien peut être différent du vôtre…
Ou pas :
Car ce que je fais, je le dois à la Nature. A ma conviction que nous ne formons qu’un avec elle.
Qu’il n’y a pas de passagers sur le vaisseau Terre. Que nous sommes tous des membres de l’équipage. En fait, je pense simplement qu’au delà de son aspect utilitaire, la Nature vit :
Elle respire, sent, rit, chuchote, crie. J’admets que c’est difficile à croire…
Mais j’ai choisi de m’y attacher. J’ai choisi de croire que chaque plante, chaque animal est doué d’une sensibilité, d’un altruisme, d’un caractère unique. Et finalement, peut-être que je n’ai pas tort :
Des gens comme Gandhi, Darwin ou Peter Wohleben (il l'explique dans ses livres) ont aussi pensé que dans chaque être vivant, un cœur bat. Pas un cœur en métal.
Un cœur en porcelaine, aussi fragile et beau que le verre :
« La grandeur d’une nation et son progrès moral peuvent être jugés à la manière dont les animaux sont traités. »
Mohandas K. Gandhi
« L’amour pour toutes les créatures vivantes est le plus noble attribut de l’homme. »
Charles Darwin
Alors voilà :
Vous n’êtes pas obligé d’avoir le même pourquoi que moi. Au contraire. Mais pour le coup…
Je suis sûre que vous n’ignorez pas que le vivant tombe malade et que le climat s’enflamme. Je pense aussi que vous connaissez la condition qui s’impose si on veut changer les choses :
On doit s’y mettre TOUS. En parler autour de nous. Rejoindre des mouvements collectifs. Enclencher tous ensemble un effet boule de neige que personne ne pourra arrêter. Arrivés là…
Peut-être qu’on donnera un coup de pouce au changement. Alors pour y parvenir …
Agissons ensemble !
Soyons tous acteurs du changement. Enclenchons tous ensemble cet effet boule de neige. Faisons bouger les lignes à plusieurs. Car nous avons besoin des autres pour y arriver…
Mais chacun peut y contribuer, VOUS pouvez y contribuer. Et pour cela, voici ce que je vous propose :
Cliquez sur ce « Je veux agir ». Rentrez votre e-mail dans le formulaire. Et cliquez sur le bouton bleu. N’attendez pas :
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